LE MANS – GENÈVE EN UNE MONTRE
De la victoire sur circuit à la beauté d’une montre: l’aventure d’un pilote amateur de course devenu horloger concentrée en une œuvre toute d’or vêtue et équipée d’un moteur de manufacture à remontage automatique.

Tout débute à la manière d’un roman d’aventure lorsque trois jeunes amateurs de circuits automobiles, Laurent Ferrier, François Servanin et François Trisconi, remportent la 3ème place sur le podium des 24Hs du Mans en 1979. Cet exploit mène deux d’entre eux à se lancer contre la course du temps en fondant, à Genève, une manufacture horlogère il y a maintenant 15 ans. Dès le départ de cette nouvelle épopée, les montres issues de ces ateliers séduisent par leur discrète perfection tant esthétique que mécanique, un charme qui continue d’opérer comme le prouve la nouvelle Sport Auto 79 dont le nom est un clin d’œil à cette victoire survenue il y a 46 ans.
Fidèle à la griffe épurée de Laurent Ferrier, ce garde-temps présente un boîtier de forme coussin en or rouge 5N de 41.5mm de diamètre pour 12.70mm d’épaisseur. Ce dernier est coiffé d’une lunette carrée aux angles adoucies et ponctué d’une couronne de type boule cannelée. Il abrite un mouvement maison, le calibre LF 270.01 à remontage automatique qui bat à la fréquence standard de 28’800 alternances par heure, intègre un micro-rotor en platine et délivre une réserve d’énergie de trois jours. Le cadran associe une teinte blanc cassé à un traitement galvanique à la fois argenté et rosé et une finition opaline, un ensemble délicat qui se marie merveilleusement bien à la chaleureuse caresse de l’or rouge du boîtier et du bracelet à maillons. Le temps y est inscrit grâce aux aiguilles de style sagaie enduites de Super-LumiNova® blanc pointant une nuée d’index gouttes et une minuterie poudrée grise tandis que les secondes défilent dans un compteur azuré à 6h et la date apparaît dans une fenêtre à 3h.
