ROYAL OAK AUTOMATIQUE 37MM Audemars Piguet

ROYAL OAK AUTOMATIQUE 37MM Audemars Piguet

SOUFFLER LE CHAUD ET LE FROID

Alors que l’automne vient de s’installer en douceur dans l’hémisphère Nord, l’horloger du Brassus propose un délicat nuancier de couleurs avec ces deux nouvelles pièces adaptées aux poignets les plus fins.

audemars piguet royal oak automatic 37 collectionQui dit changement de saison, dit nouvelles couleur. Il suffit d’observer la nature adopter une robe changeante, chatoyante voire flamboyante. Et si on n’a pas la chance de vivre au cœur de la Vallée de Joux, embrasser le paysage, même urbain, pour réaliser que oui, l’automne est bien là. Saison quelque peu ambivalente, elle souffle un peu le chaud et le froid, avec des températures quasi hivernales le matin et plutôt printanières l’après-midi, à l’instar du duo de Royal Oak Automatique 37mm récemment dévoilé par Audemars Piguet qui propose des teintes chaleureuses mais à l’intensité différente.

audemars piguet royal oak automatic 37 gold closeupAlors que l’aube se met à poindre et que le soleil ne s’est pas encore hissé haut dans le ciel, la fraîcheur du matin est incarnée par la version en or gris dont le boîtier et les attaches sont recouverts de 124 brillants (1.38 carat). Le cadran rhodié découpé en damier selon le célèbre motif Grande Tapisserie accueille des index, dont un double serti à 12h, et des aiguilles Royal Oak en or gris, et est cintré d’une lunette que tapisse 40 pierres – saphirs roses et rubis – dans un dégradé rougeoyant (0.96 carat).

audemars piguet royal oak automatic 37 grey closeup

Plus tard dans la journée, lorsque le temps est plus doux, plus clément, cette onde chaleureuse se traduit par la variante en or rose, dont l’écrin de 9.8mm d’épaisseur abrite le même calibre automatique 3120 (60 heures de réserve de marche). Le visage nappé d’ivoire, une teinte reprise sur le bracelet en cuir de veau satiné, se marie harmonieusement aux saphirs jaunes, grenats rouges et spessartites oranges sur la lunette.

Prix: 56’100 CHF

Par Sharmila Bertin