RM 52-05 TOURBILLON PHARRELL WILLIAMS Richard Mille

RM 52-05 TOURBILLON PHARRELL WILLIAMS Richard Mille

GET LUCKY!

Attendue depuis son annonce en début d’année, cette nouvelle série limitée se positionne au firmament de l’esprit créatif du chanteur américain et des mécaniques de pointe de Richard Mille.

Producteur, compositeur, l’artiste est aussi chanteur et c’est par ce biais qu’en 2013 il s’est fait connaître auprès du grand public avec un titre interprété dans la bande son du film d’animation Moi, moche et méchant. Depuis, ce touche-à-tout ultra-créatif ne cesse d’opérer des collaborations dans le monde musical et l’univers de la mode. En cette fin d’année, il signe sa toute première contribution horlogère matérialisée avec la Richard Mille RM 52-05 Tourbillon Pharrell Williams éditée à seulement 30 exemplaires. Son univers prend ainsi place sur le cadran. On le pensait musical, il nous prend à contre-pied en nous transportant dans l’espace.

richard mille rm 52 05 tourbillon pharrell williams casebackEn effet, son cadran s’orne d’un surprenant casque d’astronaute en relief usiné en titane. Sa visière reflète un décor martien dans lequel on aperçoit au loin la planète bleue. Cette composition aux teintes chaudes a été tout d’abord gravée à l’aide de burins spécialement créés pour l’occasion, puis émaillée Grand Feu avant d’être peinte à la main. Ce travail délicat signé des ateliers de Pierre-Alain Lozeron est protégé par un boîtier réalisé en Cermet brun et Carbone TPT, deux matériaux réputés pour leurs propriétés physiques exceptionnelles, dureté et légèreté.

richard mille rm 52 05 tourbillon pharrell williams profile

Les aiguilles ajourées des heures et des minutes en forme de fusée sont propulsées par un mouvement à remontage manuel doté d’un tourbillon (42 heures de réserve de marche). Son architecture unique participe à l’esthétique de la montre. La platine intègre ainsi des inserts en verre teinté bleu aventurine dont les scintillements nous projettent dans le cosmos.

Prix: sur demande richardmille.com

Par Dan Diaconu