CONCERTO EN MODE MAJEUR
Avec sa chronométrie certifiée par le COSC et auréolé du prestigieux Poinçon de Genève, ce modèle intègre l’expertise acquise ces 20 dernières années par la manufacture.

686 composants. Un dédale. Une architecture unique. Mais comment l’apprécier ? Au cœur de cette énigme mécanique bat le calibre L.U.C 08.03-L, chef-d’œuvre de précision et de savoir-faire. Après 11 000 heures de recherche et développement, ce mouvement finalisé donne vie à l’étonnante montre L.U.C Grand Strike signée Chopard. L’absence de cadran au sein d’un boîtier en or blanc éthique de 43 mm de diamètre offre une plongée vertigineuse et fascinante dans le complexe mécanisme à remontage manuel.
Des éléments se distinguent, notamment un tourbillon 1 minute logé à 6h, deux marteaux à 10h et un indicateur de réserve de marche à 2h. La gestion de l’énergie est ici primordiale pour orchestrer une répétition minutes, et aussi une grande sonnerie et une petite sonnerie, des complications gourmandes en énergie. La première sonne les heures, les quarts et les minutes à la demande, la deuxième, les heures et les quarts automatiquement, tandis que la dernière ne tinte que les quarts. Un discret sélecteur positionné à côté de la couronne permet d’opter pour sa mélodie préférée. Deux barillets, l’un pour les informations temporelles, l’autre pour les fonctions musicales, accumulent respectivement 70 heures de réserve de marche principale et délivrent 12 heures d’autonomie en mode grande sonnerie. « À chaque fois que la sonnerie est activée, (…), 34 composants s’accordent pour donner l’heure de manière claire et précise. Ils sont guidés ou retenus par un ensemble de 22 ressorts réglés individuellement, et il leur suffit de 0,03 seconde pour passer du mode veille au mode action… », détaille Chopard. La haute horlogerie n’a pas fini de nous émerveiller.

