OSER DÉCROCHER LA LUNE
De la Terre à l’astre de la nuit, il n’y a qu’un pas que franchit la marque horlogère genevoise à travers une nouvelle collection de trois modèles en acier conçue en collaboration avec un célèbre artiste taïwanais.
A l’origine: un nom, “The Tudor“, enregistré à la demande du fondateur de Rolex, le visionnaire germano-britannique Hans Wilsdorf (1881-1960). Et une date: 1926. Deux décennies plus tard, en 1946, la société Montres Tudor S.A voit le jour et, selon le cahier des charges établi, produit des modèles avec la même rigueur en termes de qualité et de précision que son aînée à la couronne mais avec un prix plus abordable. Soutenus par un design impeccable, ces préceptes, toujours d’actualité, façonnent le succès que connait l’entreprise horlogère basée à Genève qui dévoile en ce début d’automne une nouvelle collection, 1926 Luna, en hommage à l’année du dépôt de marque et à la complication présentée sur les cadrans.
En effet, cette série, conçue en collaboration avec l’artiste taïwanais Jay Chou et déclinée en trois modèles, délivre, pour la première fois dans le catalogue de Tudor, l’indication de la phase de lune. Le trio arbore un boîtier en acier poli de 39mm de diamètre, une dimension qui convient à une large majorité de poignet, qui intègre un bracelet à sept rangs de maillons pour un maximum de souplesse et de confort. Le robuste écrin de métal accueille le calibre Tudor T607-9, un mouvement automatique de manufacture qui fournit environ 38 heures de réserve de marche une fois pleinement remonté. Bombé et soleillé, chaque visage affiche une personnalité différente: bleu, un classique de l’entreprise genevoise associé à l’argenté, mordoré avec quelques touches de noir, ou, à la manière du négatif d’une photographie, noir rehaussé d’éléments dorés. Les heures et minutes sont traduites par deux aiguilles centrales de style feuille qui pointent un tour composé de chiffres arabes et d’index triangulaires, tandis que les humeurs de l’astre nocturne apparaissent, à 6h, dans un guichet partiellement masqué et ourlé d’un chanfrein métallique.
